Bonjour… Je m’appelle Anne, j’ai 58 ans. Et pour être honnête, j’ai un peu honte d’écrire ça. Mais voilà… J’avais de l’acné dans le dos, et c’était horrible!

Pas juste quelques boutons — mais des éruptions rouges, enflammées, douloureuses, comme celles qu’on voit chez les ados en pleine crise hormonale. Sauf que moi, j’approchais les 60 ans.

Quant à mes cheveux? Disons simplement qu’ils n’étaient pas de mon côté.

Mes cheveux étaient toujours secs et pleins de frisottis. Impossible à coiffer. Difficiles à dompter. Et mon cuir chevelu? Il me démangeait et pelait, peu importe les produits que j’utilisais.

Je me disais sans cesse que c’était sûrement l’âge, les hormones ou le stress. Alors j’ai testé de nouveaux shampoings, des sérums. J’y ai laissé une petite fortune. Mais rien ne fonctionnait.

Un jour, j’ai réalisé quelque chose à quoi je n’avais jamais pensé: l’eau de ma douche.

La même eau que je laissais couler sur moi chaque jour… Et si c’était elle qui abîmait ma peau et mes cheveux? Bizarrement, ça ne m’avait jamais traversé l’esprit.

Il y a un moment qui m’est vraiment resté en tête. Je me coiffais pour aller à un dîner. J’avais passé plus de temps que d’habitude à essayer de dompter mes frisottis, en espérant que cette fois, ce serait un peu plus gérable.

Puis j’ai enfilé la robe que je gardais pour une occasion spéciale. Un peu plus échancrée dans le dos que ce que je porte d’habitude. Et en me tournant vers le miroir… je suis restée figée.

La peau de mon dos avait à nouveau cet aspect irrégulier. Rouge. Agressée sous la lumière vive. Mes cheveux ? Plats à la racine, secs aux pointes. Pas vraiment le résultat que j’espérais.

À ce moment-là, je me suis sentie un peu découragée. J’avais tout essayé — les shampoings haut de gamme, les routines choisies avec soin.

Mais ce qui faisait le plus mal, ce n’était pas mon apparence. C’était ce sentiment que je n’arrivais pas à chasser: celui de ne pas me sentir bien dans ma propre peau.

Quelques semaines plus tard, j’ai retrouvé ma copine Marie autour d’un café. Pour être honnête, j’ai failli annuler. Je n’avais pas envie qu’on me voie.

On discutait tranquillement quand elle m’a regardée et m’a dit doucement : « Anne… ça va ? » J’ai hésité. Ce n’est jamais facile de s’ouvrir. On ne sait jamais comment l’autre va réagir.

Mais Marie ne m’a pas jugée. Elle n’a pas ri, elle n’a pas minimisé. Elle m’a juste écoutée. Vraiment écoutée. Je lui ai tout raconté — ma peau sèche, les frisottis, les démangeaisons incessantes.

Et puis elle m’a dit quelque chose qui m’a laissée sans voix:

«Tu as pensé à ton eau?» Je l’ai regardée, interloquée. «Mon quoi?»

«L’eau de ta douche, » a-t-elle répondu. « Tout ce chlore, la rouille, les impuretés qui passent par les tuyaux… c’est terrible pour ta peau. Et pour tes cheveux. C’est peut-être ça, la vraie cause de tout ça.»

Je suis restée là, complètement stupéfaite. Je veux dire… je prends une douche tous les jours. Jamais je n’avais pensé que l’eau elle-même pouvait être en cause. J’ai toujours blâmé l’âge ou mes produits – mais jamais l’eau.

Puis elle a sorti son téléphone et m’a montré un lien. «Ça s’appelle LumaRain,» m’a-t-elle dit. «C’est une pomme de douche avec filtre. Elle élimine toutes les saletés qui agressent ta peau et tes cheveux.»

Je l’ai regardée avec un air plus que sceptique. «Tu es sûre que c’est pas juste un gadget de plus?»

Elle a souri. «Fais comme d’habitude – cherche un peu. Tu verras.»

Ce soir-là, j’étais sur le canapé avec une tasse de thé, encore en train de repenser à ce que Marie m’avait dit. J’ai tapé “LumaRain” sur Internet, en m’attendant à tomber sur du marketing gonflé.

Mais ce que j’ai trouvé? Des gens comme moi — qui avaient enfin trouvé un vrai soulagement. Pas grâce à un énième sérum hors de prix ou une routine compliquée… mais grâce à un pommeau de douche.

Et le meilleur? Il était en promo — jusqu’à 71 % de réduction — avec une garantie satisfait ou remboursé de 30 jours. J’ai regardé l’écran et je me suis dit : pourquoi pas? J’ai dépensé bien plus pour des trucs qui n’ont jamais marché.

Au pire? Je le renvoie. Au mieux? J’arrête enfin de me sentir comme une étrangère dans mon propre corps.

Franchement, à ce stade, la seule chose que j’avais à perdre, c’était mon cuir chevelu qui pelait, ma peau qui grattait et l’acné dans mon dos qui semblait avoir pris racine.

Deux jours plus tard, le colis était devant ma porte. Je l’ai ouvert, j’ai regardé les instructions – et j’ai tout de suite été rassurée. Pas besoin d’outils. Pas besoin de plombier. Pas besoin de tuto YouTube.

Il suffisait de dévisser l’ancienne pomme de douche, de visser LumaRain à la place et d’ouvrir l’eau. C’est tout.

Ce soir-là, j’ai ouvert l’eau, je suis entrée sous la douche… et j’ai senti la différence immédiatement. La pression était parfaite. Ni trop forte, ni trop faible – juste ce qu’il fallait.

Et les modes de jet? Il y en avait trois. Un brumisateur doux. Un autre avec un massage léger qui tombait pile sur mes épaules. Et le troisième? Il a rincé mes cheveux en un rien de temps – fini les dix minutes à essayer de faire partir l’après-shampoing.

Mais ce qui m’a vraiment surprise? L’eau était… douce. Pas d’odeur de chlore. Aucune sensation de tiraillement ou de sécheresse après.

Juste une douche apaisante, propre – comme si ma salle de bain s’était transformée en spa.

Après quelques jours avec le nouveau pommeau de douche, j’ai remarqué que mes douches étaient différentes. Plus cette sensation de peau sèche et tendue après m’être rincée. C’était même… doux.

Mon dos était un peu plus apaisé, et mes cheveux semblaient moins frisottants que d’habitude. L’expérience en général était bien meilleure — et rien que ça, c’était suffisant pour continuer à l’utiliser.

J’étais tellement convaincue que j’ai mis le LumaRain dans mon bagage cabine pour notre séjour à la plage. Parce que, crois-moi — l’eau des hôtels est terrible. Pleine de chlore.

Une seule douche et j’ai su que je ne pourrais plus revenir en arrière. Ça peut paraître bête, mais ça m’a redonné le sentiment d’être moi-même.

Pendant longtemps, j’ai gardé l’espoir de trouver quelque chose qui améliorerait ma peau et mes cheveux. J’ai testé tellement de produits. Rien n’a marché.

Avec le recul, j’aurais aimé penser plus tôt à l’eau de ma douche. Dès que je suis passée à LumaRain, l’eau m’a semblé nettement plus douce. Ma peau n’était plus aussi tendue ou irritée après les douches, et mes cheveux sont devenus plus faciles à coiffer.

Et en ce moment? Il y a jusqu’à 71 % de réduction. Une grosse remise, un petit appareil, un vrai changement.

Alors si tu te demandes: «Est-ce que ça pourrait marcher pour moi?» La réponse est oui. Vraiment.